Nombreuses sont des femmes qui vendent des aliments en bordure de route sans couverture.
De la viandem de poulets braisés, du pain , des galettes, et beaucoup d’autres aliments sans couverture sont à la merci des mouches et d’autre insectes dans les différentes rues de la capitale, sont vendus à des citoyens. Malgré les conséquences de ce phénomène qui constitues une menace pour la santé publique l’État guinéen reste silencieux.
Pour Thierno Abdoulaye Diallo vendeur de viande une marchandise ne doit pas être couverte.<<C’est devenu une coutume en Guinée. Si on couvre les clients ne vont pas savoir que c’est de la viande, c’est pourquoi on n’accepte pas de couvrir. Et si on couvre seuls les étranger vont acheter>> affirme t-il.
Connu de tous les acheteurs sont conscients du danger qu’ils courent avec ces aliments non couvert. Fomocé Lamah est l’un des abonnés à cette pratique. <<j’ai pas déjeuné il est 14h et j’ai pas d’argent pour aller manger dans un restaurant. Donc je suis obligé d’acheter en bordure de route et manger malgré les risques sont énormes>> souligne t-il.
Autre aspect qu’il faut signaler ces vendeurs et vendeuses sont toujours en cohabitation avec des poubelles et des caniveaux non couvert qui sont envahis par des ordures de tout genre.
Au regard de cette situation il est important d’interpeller les autorités compétentes pour remédier à ce problème qui menace la santé de plusieurs guinéens.
Alpha Bakar Diallo